La première chose à faire pour s’améliorer, c’est d’assumer à 100 % la responsabilité de votre condition, des résultats que vous vivez. Il est si facile de trouver des excuses à toute difficulté, de blâmer les événements ou les autres pour les résultats que nous avons. Les excuses sont à bannir et à proscrire dans tout contexte.
Tout ce que vous êtes est le résultat des choix consécutifs que vous avez faits en cours de route. Votre vie égale donc la sommation des conséquences des choix que vous avez décidé de faire ou de ne pas faire.
Lorsque vous décidez d’être une personne différente de la moyenne, vous devez faire des choses que la moyenne des gens ne ferait pas. Pas étonnant qu’ils n’atteignent jamais ce que les performants obtiennent. Les gens de la moyenne feront seulement le minimum pour rester dans leur zone de confort. Pour s’améliorer, il faut nécessairement y mettre plus d’efforts que la moyenne. Les médaillés olympiques l’ont vécu et compris. Il n’y a pas de médaille sans efforts. Ce n’est pas en regardant les haltères que l’haltérophile développe ses muscles, mais en combattant la résistance, en manipulant les poids avec force et endurance.
Pour devenir meilleur, le premier réflexe à modifier est de percevoir les embûches ou les obstacles que la vie nous impose comme des possibilités.
Il n’y a qu’en soi que nos buts et nos rêves peuvent d’abord prendre vie et finir par se produire. Nous sommes ceux qui portent ces aspirations intérieures et qui les font arriver. Ce n’est pas le gouvernement, la situation économique du pays, les conditions dans le monde, ceux qui vous entourent (famille, parents, amis, associés, équipiers), ou encore moins les investisseurs ou votre entreprise qui détiennent le contrôle, mais vous-même.
Comment devenir meilleur?
Si vous êtes de ceux qui se responsabilisent; vous commencez déjà à vous séparer de la majorité.
Quand vous assumez ainsi vos actions, vous vous assurez du contrôle de tout ce qui vous arrive dans votre vie.
C’est un pas vers une amélioration de soi en continu.
